Comment tenir Bébé ?

Comment tenir un bébé ? Voilà une question que tout adulte peu habitué s’est posée lorsque est venue la première fois. Une règle d’or à respecter : ne pas lui secouer la tête…
Temps5-10 minutes ‘d’apprentissage’
DifficultéFacile
Budget

Quelle position ?

Quel adulte ne s’est pas un jour trouvé ‘gauche’ lorsqu’il a fallu manipuler un (son) nouveau né pour la première fois ? Comment le tenir et le manipuler sans lui faire mal ni le faire tomber ? Rassurez-vous, Bébé n’est pas en verre et les premières minutes passées, vous trouverez vite vos marques.

Tenir Bébé en position allongée
La première façon de tenir Bébé est de le prendre dans vos bras en position allongée, comme si vous vous apprêtiez à le bercer. Sa nuque bien calée, sa tête ne doit surtout pas être dans le vide.

Tenir Bébé en position verticale
Il s’agit d’une position appréciée par les bébés qui peuvent ainsi appréhender leur environnement et voir les gens qui les entourent. Pour cela, tenez Bébé contre vous et chose importante, soutenez-lui la tête avec votre main. Les muscles de son petit cou sont encore trop peu développés pour bien la maintenir en place.

Tenir Bébé en position assise
Il est encore possible de le tenir en position assise sur l’un de vos avant-bras, Bébé tourné vers l’extérieur, votre autre bras enroulé autour de son ventre et de sa poitrine. Si vous êtes-vous-même assis, posez Bébé sur votre cuisse. Pour le tourner vers l’assistance, adossez-le à votre buste et calez sa tête dans le creux de votre bras. Pour le tenir vers vous, comme en position verticale, soutenez-lui la tête avec une main.

Ce qu’il ne faut pas faire

Vous apprendrez vite à vous sentir à l’aise avec un bébé dans vos bras et ‘oserez’ d’autres positions que celles que nous venons de mentionner. Veillez toutefois à toujours parfaitement maintenir sa tête droite, jusqu’à ce qu’il soit en âge de le faire de lui-même. D’une manière générale, ne lui secouez jamais la tête et ne jetez jamais Bébé en l’air. Ces secousses peuvent entraîner la mort de l’enfant (une trentaine de cas par an) ou des séquelles neurologiques irréparables graves (dans 50% à 60% des cas).

[ Notre article ‘Le syndrome du bébé secoué‘ ]

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